12.07.2017

Construire la Tour de Babel moderne : des services de traduction pour des projets d’envergure colossale

Construire la Tour de Babel moderne : des services de traduction - EVS Translations
Construire la Tour de Babel moderne : des services de traduction – EVS Translations

Puis ils dirent, « Allons ! Construisons-nous une ville et une tour dont le sommet atteindra le ciel, alors notre nom deviendra célèbre et nous ne serons pas disséminés sur l’ensemble de la terre ». – Genèse 11:4

Peu de récits s’attachant à mettre en lumière le fossé entre le commun des mortels et le divin sont aussi célèbres dans le monde occidental que celui de la Tour de Babel. Cependant, si l’on fait abstraction de la dimension religieuse pour ne s’intéresser qu’au récit du projet de construction titanesque, l’on découvre l’histoire d’un groupe de personnes qui collaborent à l’édification d’une structure colossale en communicant dans une langue universelle – ce qui est une représentation assez fidèle du quotidien actuel dans le monde de la construction.

Même si la finalité première de cette histoire est de poser les bases mythologiques de l’existence du multilinguisme, examinons-la un instant sous l’angle architectural. Bien que variables, les descriptions de la structure elle-même sont impressionnantes, et même plausibles. Le Livre des Jubilés (10:20-21), lequel va jusqu’à donner des dimensions précises, décrit la structure comme ayant une hauteur de 5 433 coudées et 2 palmes (2 484 m), et 2 murs comme s’élevant à 13 et 30 stades (1 stade correspond à environ 180 m).

Si ces valeurs semblaient invraisemblables aux anciens, penchez-vous sur ce passage rédigé par le Professor J. E. Gordon, expert reconnu en matière de structure et de matériaux, dans son ouvrage Structures or why things don’t fall down  (Les structures, ou pourquoi les bâtiments ne s’effondrent pas) au sujet de la Tour de Babel : « L’arithmétique élémentaire montre qu’il aurait été possible de faire monter une tour ayant des murs parallèles à une hauteur de 2,1 km, mais qu’une fois cette hauteur atteinte, les briques à la base de la structure auraient été écrasées. Toutefois, en penchant les murs au niveau du sommet, il aurait tout à fait été envisageable de poursuivre la construction jusqu’à une altitude où l’oxygène se raréfie et où les hommes de Shinnar auraient éprouvé des difficultés à respirer, mais les murs de brique auraient fini par s’effondrer sous la pression de leur poids propre. »

Bien que les matériaux et la conception aient changé, le désir de construire, et de construire grand, n’a pas disparu et a même gagné en intensité. Prenons l’exemple des gratte-ciels : il n’a pas fallu plus de 12 ans pour que les tours Petronas à Kuala Lumpur, culminant à 451.9 m et classées plus hauts gratte-ciels du monde au moment de leur construction, soient détrônées par le Burj Khalifa à Dubaï lequel, avec 828 m, atteint presque le double de leur hauteur.
Achevé en 2012, le barrage hydroélectrique des Trois-Gorges en Chine a une capacité de production de 22 500 MW, soit largement plus que le barrage Itaipu au Brésil/Paraguay, vieux de 30 ans.
Compte tenu du fait que de nombreux pays et entreprises lancent des projets de construction et d’infrastructures de plusieurs milliards de dollars, ces exemples ne sont que la partie émergée de l’iceberg.

Nous vivons aujourd’hui dans un monde qui est devenu, d’une certaine façon, l’antithèse du dénouement de l’histoire de la Tour de Babel, puisque les mégaprojets de construction contemporains sont exécutés avec succès par des professionnels qui parlent différentes langues, et non pas une seule langue universelle.

Si l’on prend en particulier le projet Burj Khalifa, on constate qu’il implique des entreprises domiciliées en Australie, au Royaume-Uni, aux États-Unis, aux Émirats Arabes Unis, en Belgique et en Allemagne, ainsi que des fournisseurs de matériaux et des travailleurs originaires d’une multitude de pays, qui travaillent tous ensemble à l’atteinte d’un objectif commun.

Et bien qu’il reste encore du chemin à accomplir avant d’atteindre la hauteur et les proportions effectives d’un projet tel que celui de Babel, la prestation de services de traduction professionnels permet aujourd’hui à des architectes, des ingénieurs, des experts de la construction et des travailleurs de culture et de langue différentes de mettre en commun leurs compétences et de collaborer à des projets de construction de grande envergure.

En faisant appel à EVS Translations, vous bénéficiez de 25 années d’expérience dans la fourniture de services de traduction pour un large éventail de projets de construction et d’infrastructures internationaux et d’une position de leader en termes de qualité, d’optimisation des processus et de service clientèle. Contactez-nous dès aujourd’hui.

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